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Trucks & Tanks n°57 - Standardpanzer E-75, l’arme absolue ?
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Trucks & Tanks n°57

Standardpanzer E-75

L’arme absolue ?

 EPUISE 

Au sommaire du n°57 - Septembre/Octobre 2016

+ Standardpanzer E-75
L’arme absolue ?

+ Le Scout Car Daimler Dingo
Simplicité et performances

+ Canon Anti Tank d’infanterie 90
Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se recycle

+ Panzer Vs Tanks alliés
Normandie 1944

+ Laffly W15 TCC
L'arme de la dernière chance

+ L’Armée italienne au combat (2e partie)
Rattraper le retard technologique

+ Panzer I Ausf. A Breda Modello 1935
Le tuer de T-26

+ Actualité

En savoir +

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Au sommaire du n°57 - Septembre/Octobre 2016

+ Standardpanzer E-75

L’arme absolue ?

Directement issu du projet des Entwicklungstypen (types standards), le Standardpanzer E-75 aurait été le successeur du Panzer VI Ausf. B Tiger II. Une puissance de feu améliorée, une protection majorée et une mobilité retrouvée devaient censément lui donner les moyens de dominer le champ de bataille. Par ailleurs, grâce à de nouvelles techniques d’assemblage, sa production aurait été facilitée, permettant ainsi à la Panzerwaffe 1946 de disposer d’un plus grand nombre de machines. Toutefois, ce projet, en avance sur les véhicules adverses sur bien des points, n’aura pas le temps d’être mené à son terme, et, aujourd’hui encore, bien des informations techniques restent assez mal connues, si bien que le E-75 est l’objet de nombreux « fantasmes ». Celles disponibles permettent néanmoins de brosser un tableau de la toute dernière génération de chars lourds du III. Reich tout en autorisant de spéculer sur les données encore « secrètes ».

+ Le Scout Car Daimler Dingo

Simplicité et performances

Les Scout Cars sont inventés dans les années 1920 pour remplacer les chevaux dans les missions de reconnaissance. Une fonction qui vaut à l’engin des caractéristiques différentes des véhicules habituellement utilisés dans cette tâche : très faible protection, agilité et grande vitesse.

+ Canon Anti Tank d’infanterie 90

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se recycle

Au début des années 1950, l’Armée belge renaissante se lance dans un vaste programme de rééquipement grâce à l’assistance matérielle des États-Unis. Dans le cadre du Mutual Defense Assistance Program (MDAP), la Belgique perçoit ainsi de grandes quantités de chars (M24 Chaffee, M26 Pershing, M47 Patton), de semi-chenillés (M2A1, M3/M3A1) et d’obusiers automoteurs (M7 Priest, M44 et M55). L’arrivée massive de ces véhicules modernes frappe toutefois d’obsolescence le matériel britannique hérité de la Seconde Guerre mondiale. Dans ces conditions, et pour ne pas laisser ses fantassins démunis face à la menace blindée soviétique (prise très au sérieux depuis le début de la guerre de Corée), l’Armée belge décide de se doter, à moindre frais, d’un nouvel engin d’accompagnement spécialisé dans la lutte antichar.

+ Panzer Vs Tanks alliés

Normandie 1944

Le 6 juin 1944, lorsque les Alliés débarquent sur les plages normandes, ils s’attendent à rencontrer une forte résistance sur les plages, puis espèrent lancer une offensive rapide à travers le bocage ou dans les plaines de Caen. Finalement, les pertes des premières heures s’avèrent bien plus faibles que prévu, avec environ 10 000 morts, blessés et disparus sur les 176 000 hommes ayant participé au débarquement (soit 6 % des effectifs, alors que le Haut commandement les avait estimées à 12,5 %), mais la progression dans les terres se heurte à des troupes allemandes bien appuyées par des Panzer de tous types et des automoteurs aussi nombreux que variés. En définitive, les Américains parviennent à percer les lignes défensives ennemies lors de l’opération « Cobra » lancée fin juillet. Après un mois et demi d’une lutte acharnée, les divisions mécanisées du III. Reich ont fini par céder. Mais comment se sont comportés leurs blindés qui, sur le papier, semblent peu à l’aise sur un terrain assez cloisonné ? Les « tanks » alliés ont-ils vraiment été dominés par des mastodontes (Tiger et Panther) taillés pour combattre dans les steppes russes ? Retour sur une des semaines d’un engagement d’une violence inouïe.

+ Laffly W15 TCC

L'arme de la dernière chance

Lorsque la Wehrmacht déferle sur la France en mai 1940, l’Armée française se retrouve confrontée à une guerre pour laquelle elle n’est pas totalement préparée. Les Panzer sont en pointe des offensives et ils ne paraissent pas pouvoir être stoppés par les matériels français en dotation. Commence alors une course contre la montre pour ralentir l’avance allemande le temps de préparer l’industrie nationale au conflit qui vient de débuter. Pour ce faire sont déployés en catastrophe des engins non terminés, de simples prototypes, des machines obsolètes… destinés à vaincre les blindés adverses. La « priorité » est alors donnée aux chasseurs de chars, à l’instar du Laffly W15 TCC.

+ L’Armée italienne au combat (2e partie)

Rattraper le retard technologique

Pour accroître sa sphère d’influence, le Royaume d’Italie décide de se lancer dans une vaste campagne de colonisation en Afrique. Pour ce faire, le Regio Esercito met au point des matériels très spécialisés, et souvent très performants, destinés à opérer en milieu désertique face à des tribus mal armées. Néanmoins, Mussolini, dans sa volonté de concurrencer le III. Reich, lance ses troupes dans une guerre continentale qui se poursuit de l’autre côté de la Méditerranée, où les soldats italiens affrontent les troupes britanniques. Las, la confrontation avec la British Army, dotée de moyens lourds, se transforme en une véritable déroute. Faute de budget militaire suffisant, Rome a fait le choix de développer des véhicules coloniaux qui se font balayer par les tanks anglais. L’Armée italienne aligne elle aussi des chars, mais ils sont dépassés avant même d’entrer en service. Pour autant, elle ne baisse pas les bras et cherche rapidement à s’équiper d’engins capables d’opérer dans une guerre désormais mondiale.

+ Panzer I Ausf. A Breda Modello 1935

Le tuer de T-26

Lors de la guerre d’Espagne, le III. Reich livre 122 Panzer I à l’Armée nationaliste… qui s’avèrent totalement dépassés par les T-26 soviétiques engagés par les Républicains. Les « Negrillos », comme ils sont alors surnommés dans le camp fasciste en raison de leur livrée grise, ne sont donc pas de taille à affronter de tels adversaires lourdement armés d’une pièce de 45 mm. Pour en améliorer le potentiel, le général Franco lui-même propose de les réarmer.

+ Actualité

Leopard 2 versus T-14 armata