Trucks & Tanks n°52
Les meilleurs engins de combat de la seconde guerre mondiale
Quelle armée avait les matériels les plus efficaces ?
EPUISE
Au sommaire du n°52 - Novembre/Décembre 2015
+ Les meilleurs engins de combat de la seconde guerre mondiale
Quelle armée avait les matériels les plus efficaces ?
+ Actu : Les véhicules de transports de troupes de l'armée Belge
De la guerre froide à l'hyper-terrorisme
+ Medium Assault Tank M4A2 «Jumbo»
Le char d'infanterie de l'US Army
+ Wehrmacht 1946
La supériorité par la puissance de feu
+ Mark VII Liberty
Le char international
+ Panzer IV mit 7,5cm KwK L70 Panther Schmalturm
Une troisième jeunesse ?
+ Camouflage
Des Tanks et des hommes Balthasar « Bobby» Woll
Au sommaire du n°52 - Novembre/Décembre 2015
+ Les meilleurs engins de combat de la seconde guerre mondiale
Quelle armée avait les matériels les plus efficaces ?
Dans le Trucks & Tanks numéro 26, le dossier principal tentait de répondre à une interrogation simple : quel était le meilleur char moyen de la Seconde Guerre mondiale ? La comparaison ne tenant compte que de l’aspect technique, cet article concluait à la victoire du Panzer V Panther. Avec cette nouvelle étude, la question est étendue à l’ensemble des véhicules de combat utilisés par les différents belligérants. Ainsi vont être analysés les blindés lourds et légers, les canons d’assaut, les automoteurs d’artillerie, les chasseurs de chars.
+ Actu : Les véhicules de transports de troupes de l'armée Belge
De la guerre froide à l'hyper-terrorisme
Du début de la guerre froide à nos jours, l’Armée belge connaît successivement pas moins de quatre générations de véhicules blindés destinés au transport de ses fantassins. Si le passage de l’une à l’autre est généralement motivé par un souci de modernisation et d’adaptation du matériel à l’évolution des conditions du champ de bataille, la Belgique doit néanmoins composer avec un budget de la Défense limité, et le choix d’adopter tel engin plutôt qu’un autre est, en définitive, le plus souvent déterminé par des considérations d’ordre économique…
+ Medium Assault Tank M4A2 «Jumbo»
Le char d'infanterie de l'US Army
Pour l’US Army, les premiers tours de chenilles sur le sol africain à Gazala le 27 mai 1942 des Medium Tanks M3 sont une source de désillusions. En effet, les Lee ou Grant ne sont pas taillés pour affronter les défenses antichars allemandes équipées de canons de 8,8cm. L’arrivée du M4 Sherman ne change rien à la situation, car il ne possède pas non plus la protection nécessaire. Forts de ce constat, les ingénieurs et militaires américains vont se pencher sur la mise au point d’un Sherman surblindé.
+ Wehrmacht 1946
La supériorité par la puissance de feu
En novembre 1944, la firme Krupp‑AG entame une série d’études sur le réarmement des principaux blindés allemands. Ce plan, désigné Umbewaffnung (réarmement) der Panzer, prévoit d’installer des canons plus puissants, non pas pour améliorer intrinsèquement les performances des engins de combat, la plupart des pièces allemandes surclassant leurs homologues alliées, mais pour accroître leur allonge. Une manière d’augmenter les distances de sécurité et de permettre aux Panzer et autres Jagdpanzer d’être moins vulnérables aux tirs ennemis.
+ Mark VII Liberty
Le char international
Jusqu’en 1916, les États-Unis appliquent une politique non interventionniste envers la situation en Europe. Cet isolationnisme finit toutefois par ne pas résister aux événements, comme la guerre sous-marine menée par l’Allemagne du Kaiser Guillaume II, et les militaires américains se rendent compte que la course à l’armement que se livrent les différents belligérants a fini par creuser un écart technologique entre l’US Army et les forces du Vieux continent. Dans ces conditions, Washington cherche à combler le fossé, notamment dans le domaine des chars de combat.
+ Panzer IV mit 7,5cm KwK L70 Panther Schmalturm
Une troisième jeunesse ?
En novembre 1944, la firme Krupp‑AG entame une série d’études sur le réarmement des principaux blindés allemands. Ce plan, désigné Umbewaffnung der Panzer (réarmement des chars), comprend notamment l’installation d’une nouvelle tourelle, le Schmalturm prévu pour le Panther, sur le châssis d’un Panzer IV.
+ Camouflage
Des Tanks et des hommes Balthasar « Bobby» Woll
Il ne fait aucun doute que le SS‑Hauptsturmführer Michael Wittmann doit une bonne partie de ses victoires à son talentueux tireur : Balthasar « Bobby » Woll. Pour autant, ce dernier ne se contente pas d’être le membre d’équipage d’un homme, il est aussi un chef de char renommé au tableau de chasse impressionnant.