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Trucks & Tanks n°50 - 8,8 cm Waffenträger, la dernière ligne de défense du III. Reich
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Trucks & Tanks n°50

8,8 cm Waffenträger

La dernière ligne de défense du III. Reich

 EPUISE 

Au sommaire du n°50 - Juillet/Août 2015

+ Dossier : 8,8 cm Waffenträger
La dernière ligne de défense du III. Reich

+ Actu : La famille Armata
Les blindés russes font leur révolution !

+ Whippet
Un lévrier parmi les tortues

+ Jagdpanzer E-100
Spéculation autour d'un chasseur de chars

+ Chars modernes
L'Autriche

+ Chars Lourds Japonais
Les Kaiju du soleil levant

+ Tiran 4 et 5
De Tsahal aux milices chrétiennes

+ Half-Tracks (2e partie)
L'aventure des semi-chenillés américains

+ Camouflage
Des panzer et des hommes « Rudolf von Ribbentrop»

+ Comparatif
Wespe vs Priest

En savoir +

TNT50

Au sommaire du n°50 - Juillet/Août 2015

+ Dossier : 8,8 cm Waffenträger

La dernière ligne de défense du III. Reich

En 1945, Hitler fonde beaucoup d’espoir sur les Wunderwaffen (armes miracles) pour retourner la situation sur le champ de bataille. Ces projets, dépassant souvent les limites de la technologie de l’époque, drainent des budgets colossaux tout en gaspillant à la fois du temps et des matières premières. D’autres programmes plus « classiques » sont également sur les rails, comme celui des Einheitsfahrgestelle (châssis standards), dont les chars doivent, à terme, former l’ossature de la Panzerwaffe 46. Ces études ont en commun d’être en inadéquation avec la situation du III. Reich, étouffé par les bombardements et un blocus économique sans précédent. Pourtant, certes bien moins ambitieux, un projet aurait pu mieux aider les soldats allemands à défendre leur frontière, celui des 8,8cm Waffenträger (des armes lourdes montées sur des châssis chenillés). Certes, ces engins n’auraient, en aucune manière, changé le cours de la guerre, mais leur présence aurait permis à bon nombre de servants de canons antichars de survivre au conflit tout en ralentissant nettement la progression des chars ennemis.

+ Actu : La famille Armata

Les blindés russes font leur révolution !

Le 9 mai 2015, les Vooroujionnye Sily Rossiïskoï Federatsii (Forces armées de la fédération de Russie) ont fêté le 70e anniversaire de la victoire de l’Armée rouge sur la Wehrmacht (Armée allemande du III. Reich). À cette occasion, l’Armée russe a frappé un grand coup en présentant des matériels de dernière génération, dont les engins de la famille Armata. De ce châssis chenillé lourd sont dérivés un Main Battle Tank (char de combat principal) ou encore un véhicule blindé de combat d’infanterie qui marquent le retour au premier plan de l’armement russe. Bien que la plupart des informations disponibles soient classifiées, un début d’analyse est possible.


+ Whippet

Un lévrier parmi les tortues

Parcourant entre 13 à 14 km/h au maximum, le Medium Tank Mark A Whippet
ne mérite que peu le surnom de « Whippet », une race de lévrier nain susceptible de réaliser des pointes de vitesse à 80 km/h sur de courtes distances ! Pourtant, en comparaison des autres chars anglais, il est au moins deux fois plus rapide. Il est vrai que sa mission principale n’est pas de forcer les défenses adverses mais d’exploiter la moindre percée réalisée par les Infantry Tanks de la série des Mark I à V.

+ Jagdpanzer E-100

Spéculation autour d'un chasseur de chars

Les engins allemands du programme des Entwicklungstypen (types standards) font aujourd’hui l’objet de nombreuses controverses du fait d’un manque chronique d’informations qui laisse le champ libre à différentes interprétations. Le char super-lourd E‑100 ne fait pas exception à la règle, notamment en ce qui concerne le Jagdpanzer (chasseur de chars) qui aurait dû en être dérivé.

+ Chars modernes

L'Autriche

Après la Seconde Guerre mondiale, l’Autriche ne recouvre sa souveraineté qu’en 1955, à la suite de son « occupation » quadripartite et de plusieurs années de tergiversations de la part de Moscou. Cette indépendance se double d’une neutralité prudente envers les blocs occidental et communiste.

+ Chars Lourds Japonais

Les Kaiju du soleil levant

En dépit d’un potentiel industriel limité dans ce domaine, l’Empire du Soleil levant étudie toute une gamme de chars lourds, dont les programmes débutent dans les années 1930. Il peut paraître surprenant que des mastodontes de plus de 100 tonnes soient développés alors que les théâtres principaux d’opérations (la Chine et les myriades d’îles du Pacifique) ne permettent que le déploiement d’engins légers voire moyens, mais le Japon tient à « maintenir » une vieille technologique pour ne pas laisser les autres nations prendre trop d’avance dans le domaine de la guerre mécanisée.

+ Tiran 4 et 5

De Tsahal aux milices chrétiennes

Au milieu des années 1950, Moscou manifeste un intérêt croissant à l’égard du monde arabe. Via des accords d’aide, l’Union soviétique fournit de grandes quantités de matériels militaires, dont des chars de combat T‑54/55, des Main Battle Tanks performants et rustiques, qui vont devenir le fer de lance des Armées égyptiennes et syriennes. Les défaites successives de ces dernières face à Tsva Hagana LeIsrael (Tsahal ou Forces de défense d’Israël) permettent aux Israéliens de capturer nombre de ces blindés, qui sont réutilisés sous la désignation de Tiran. Par la suite, ces engins modifiés selon les besoins de leurs nouveaux propriétaires servent au Liban durant deux décennies.

+ Half-Tracks (2e partie)

L'aventure des semi-chenillés américains

Dans la première partie, publiée dans le TnT 49, sont étudiées la genèse des Half-Tracks américains et leurs versions transport de troupes (Carrier, Personnel Half-Track) et tracteur d’artillerie (Half-Track Car).
Ce deuxième historique aborde les variantes armées.

+ Camouflage

Des panzer et des hommes « Rudolf von Ribbentrop»

+ Comparatif

Wespe vs Priest