Trucks & Tanks n°48
Jagdpanzer
Histoire des chasseurs de chars du III. Reich
EPUISE !
Au sommaire du n°48 - Mars/Avril 2015
+ Dossier : Jagdpanzer
Histoire des chasseurs de chars du III. Reich
+ Le Saint Chamond
La «bête à chagrin»
+ StuG. E-75
Spéculations autour d'un canon d'assaut
+ A.B./Mi T15
L'ersatz de char de l'Armée belge
+ Les dessous du combat moderne
Les chars occidentaux de première génération
+ Stridsvagn 103
Le char venu du froid
+ Renault & la Wehrmacht
Quand le losange roulait pour l'Allemagne
+ Camouflage
Les engins de l'opération « Daguet »
+ Comparatif
Nashorn vs Archer
+ Actu : Maneuver Combat Vehicle
"Kidou-sentou-sha"
Au sommaire du n°48 - Mars/Avril 2015
+ Dossier : Jagdpanzer
Histoire des chasseurs de chars du III. Reich
Panzerjäger, Jagdpanzer, Sturmgeschütze, tous ces automoteurs ont en commun la mission de « casser » du char adverse. Si les premiers ne peuvent que très peu déroger à ce rôle, les deux autres sont bien plus polyvalents, car ils peuvent aussi bien être engagés dans la défensive que dans l’offensive. Mais pourquoi la Wehrmacht a‑t‑elle développé la lignée des Jagdpanzer alors que les Sturmgeschütze pouvaient assurer les mêmes fonctions ? Petite histoire d’une rivalité entre deux branches de l’Armée allemande.
+ Le Saint Chamond
La «bête à chagrin»
Le Saint Chamond, parmi les tout premiers « cuirassés terrestres » de l’Armée française, n’aurait jamais dû voir le jour, du moins dans l’esprit du général Estienne, qui misait avant tout sur le char d’assaut Schneider CA1. Mais cela était sans compter l’intervention de hauts dirigeants de l’état-major qui voulaient garder la main sur cet armement prometteur en développant un engin « supérieur » en tout point. Hélas, le résultat ne sera pas à la hauteur de leurs espérances.
+ StuG. E-75
Spéculations autour d'un canon d'assaut
Si les grandes lignes du programme des Entwicklungstypen (type standard) ont pu être décryptées, certains véhicules de cette série d’engins, qui auraient dû voir le jour en 1945‑46, demeurent encore « mystérieux », à l’instar du 15cm L/52 Sturmgeschütz E‑75.
+ A.B./Mi T15
L'ersatz de char de l'Armée belge
Soucieuse de préserver l’intégrité de son territoire en cas de nouveau conflit, la Belgique entame, au début des années trente, une importante refonte de son système défensif. Si les autorités, fidèles à la tradition de neutralité du royaume, font alors des travaux de fortification des frontières leur priorité (en particulier à l’est), elles n’en négligent pas pour autant les progrès de la motorisation militaire et, par voie de conséquence, l’acquisition d’engins de combat modernes.
+ Les dessous du combat moderne
Les chars occidentaux de première génération
Tandis que les Soviétiques mettent en ligne leur Main Battle Tank (MBT ou char moyen de combat principal) T‑54, bientôt suivi du T‑55, sa version améliorée, les occidentaux tentent de rattraper leur retard technologique en améliorant des matériels développés durant la Seconde Guerre mondiale.
+ Stridsvagn 103
Le char venu du froid
La fin des années 1950 voit arriver à maturité le concept du Main Battle Tank (MBT ou char principal de bataille) de première génération. La majorité des blindés conçus à cette époque a une organisation interne similaire et une morphologie qui semble fixée à jamais.
+ Renault & la Wehrmacht
Quand le losange roulait pour l'Allemagne
En 1939, Renault est le premier constructeur français de véhicules utilitaires et le premier fournisseur de l’armée. La défaite et la mise sous tutelle de l’économie française par le III. Reich font de la firme au losange une proie de choix pour l’industrie allemande et la Wehrmacht. Ainsi, les camions tricolores prendront une teinte « Feldgrau » à partir de l’automne 1940.