Trucks & Tanks n°41
Les chars de l'Afrika-Korps au combat
Panzer en Afrique
Au sommaire du n°41 - Janvier/Février 2014
+ DOSSIER : Les chars de l'Afrika-Korps au combat
Panzer en Afrique
+ Rhapsodie Mortelle
Les véhicules lance-roquettes de la Seconde Guerre mondiale
+ 8,8cm Pak 43
L'arme fatale
+ Entwicklungsfahrzeug E-10
Le chasseur Né
+ La famille des Quad
Les tracteurs d'artillerie anglais
+ OH-58D Kiowa
Devenir un «Warrior»
+ Camouflage
La guerre civile libanaise (1975-1990) Un chaos indescriptible!
+ Actu : 30-tonne vehicle «Terrier»
Le couteau suisse télécommandé
Au sommaire du n°41 - Janvier/Février 2014
+ Les chars de l'Afrika-Korps au combat
Panzer en Afrique
Comme en Union soviétique, les Panzer constituent la force de frappe principale des troupes allemandes. Plutôt fiables, jusqu’à l’arrivée des Tiger, les chars du Deutsches Afrika-Korps vont permettre à Rommel de remporter d’indéniables succès en dépit d’une infériorité numérique régulière. Mettant en lumière les qualités des Panzer mais aussi leurs faiblesses,
ce dossier relate l’engagement des blindés du DAK de février 1941 à mai 1943, date à laquelle ils finiront par plier sous le nombre malgré l’entrée en lice d’un des plus puissants chars du conflit : le Panzer VI Ausf. E Tiger I.
+ Rhapsodie Mortelle
Les véhicules lance-roquettes de la Seconde Guerre mondiale
En dépit de leur imprécision « naturelle », les roquettes sol‑sol ont fait preuve de leur efficacité lors de tirs de barrage durant lesquels leur emploi en masse parvenait à causer d’effroyables dégâts. En effet, transportant une charge puissante pour un coût modeste, ces armes peuvent être tirées en « rafale » et saturer une vaste zone. Par ailleurs, elles « sonnent » durement les soldats, qui reçoivent une pluie de projectiles accompagnée d’un bruit terrifiant propre à démoraliser le plus courageux des hommes. Si une partie du parc de lance-roquettes est tractée sur des affûts, à la manière de pièces d’artillerie classiques, l’autre est montée sur des véhicules afin de lui apporter la mobilité suffisante pour accompagner les troupes et leur fournir un appui‑feu dévastateur.
+ Entwicklungsfahrzeug E-10
Le chasseur Né
Dès mai 1942, les autorités allemandes envisagent de revoir complètement la méthode de fabrication de leurs engins de combat. En effet, ceux‑ci sont conçus selon des considérations d’avant-guerre, et leur qualité d’assemblage répond à des normes élevées. Si les blindés affichent une finition exemplaire pour des machines de guerre, ils sont en revanche inadaptés à une production en grande série.
De ce fait, en avril 1943, le projet baptisé Entwicklungstypen (types standards) ou Einheitsfahrzeuge ou encore Einheitsfahrgestell (châssis standard) est lancé dans un but de rationalisation. L’accent est mis sur la facilité de fabrication, notamment pour les chasseurs de chars, dont certains modèles doivent être produits à 1 000 unités par mois.
+ La famille des Quad
Les tracteurs d'artillerie anglais
Depuis sa création, la Royal Artillery est confrontée au déplacement de ses canons pour suivre l’évolution de la bataille. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les capacités de ses tracteurs sont donc adaptées à ces pièces. Indissociables du tube de 25 livres, les tracteurs d’artillerie de campagne du type « Quad » sont alors déployés en très grand nombre. Les cabines évoluant et les châssis étant produits par différentes firmes, 23 versions différentes sont recensées.
+ 8,8cm Pak 43
L'arme fatale
Pendant la campagne de France de mai‑juin 1940, la Wehrmacht se retrouve aux prises avec les chars lourds B1bis, invulnérables aux projectiles du canon antichar 3,7cm Pak 37. Berlin émet alors un cahier des charges d’une arme plus puissante susceptible de venir à bout des blindés les plus massifs, et le canon de 8,8cm Pak 43 répond à cette demande.
+ OH-58D Kiowa
Devenir un «Warrior»
Comme le prouve le Bell Model 406 OH‑58D Kiowa, nul besoin d’un lourd et coûteux hélicoptère d’attaque Boeing AH‑64 Apache pour assurer des missions ponctuelles de reconnaissance ou d’appui‑feu. Certes, sa version armée, dite Warrior, n’est pas prévue pour opérer dans un environnement saturé en systèmes antiaériens, mais sa légèreté, son agilité et sa manœuvrabilité font merveille depuis 1969, date à laquelle le premier OH‑58 est entré en service dans l’US Army.
+ Camouflage
La guerre civile libanaise (1975-1990) Un chaos indescriptible!
En 1975, ayant subi de plein fouet les répercussions des conflits secouant le Proche-Orient (guerres israélo-arabes de 1967 et 1973, « septembre noir » en Jordanie, attaques d’Israël par des éléments de l’OLP réfugiés sur son sol auxquelles Tsahal réplique systématiquement par de multiples incursions), le Liban multiconfessionnel implose. En quelques semaines, les affrontements entre les diverses communautés se muent en une effroyable guerre civile opposant les phalanges libanaises (qui vont bientôt fusionner avec d’autres milices chrétiennes maronites pour former les forces libanaises) du clan Gemayel d’un côté, à l’OLP de Yasser Arafat, au parti nassériste Al‑Mourabitoun d’Ibrahim Qoleilat et au parti social nationaliste syrien (PSNS) de l’autre.
+ Actu : 30-tonne vehicle «Terrier»
Le couteau suisse télécommandé
Depuis la Seconde Guerre mondiale, le Corps of Royal Engineers tient une place importante dans l’Armée britannique. Si jusqu’à présent les unités du génie anglaises n’avaient en leur possession que du matériel « classique », autrement dit des engins modernes mais dont les concepts datent des années 1950‑60, il n’en va pas de même avec la récente acquisition de soixante 30‑tonne vehicles « Terrier ». Avec ce blindé multifonction high-tech,
le Corps of Royal Engineers entre de plain-pied dans le XXIe siècle.