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Trucks & Tanks n°36 - Les mécanos de l'extrême
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Trucks & Tanks n°36

Les mécanos de l'extrême

L'exception à la française

Au sommaire du n°36 - Mars/Avril 2013

+ Les mécanos de l'extreme
Dossier

+ ZSU-23-4 « Shilka »
La muraille de feu

+ Marder II
De bric et de broc

+ Les chars volants
Eurocopter EC665 Tigre, le Tigre de l’ALAT

+ 76,2 mm 3-K Obr. 1931
Chronique d’une pièce germano-soviétique

+ AMD 178
Les tourelles de l’AMD 178 Panhard

+ Les Panzer « africains »
Livrées et camouflages des Panzer IV du Deutsches Afrika-Korps

+ Actu : Combat Reconnaissance Armoured Buggy de Panhard
Le CRAB avec tambour et trompette

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Au sommaire du n°36 - Mars/Avril 2013

+ Les mécanos de l'extrême

Dossier

Si le Tiger I est une formidable machine de guerre, il n’en reste pas moins vrai que ses 57 tonnes sollicitent à l’extrême ses composants mécaniques. Immobilisé, le char lourd n’est alors d’aucune utilité. Les engins neufs étant livrés au compte-gouttes, les ateliers de maintenance des schwere Panzer-Abteilungen doivent réaliser des miracles pour réparer ces fragiles mécaniques et ainsi permettent à leurs camarades de donner le « meilleur » d’eux-mêmes sur le champ de bataille. Retour sur la face cachée des exploits des Tiger.

+ ZSU-23-4 « Shilka »

La muraille de feu

Véritable bête noire des aviateurs occidentaux et israéliens, le ZSU-23-4 « Shilka » est susceptible de dresser une muraille de feu devant tous les appareils ennemis qui viendraient à passer dans son champ d’action. Afin de mieux appréhender cet automoteur antiaérien, une interview exclusive d’un pilote de Shilka donne à cette étude technique une idée de son comportement en « conditions réelles ».

+ Marder II

De bric et de broc

Durant l’été 1941, lors de l’opération « Barbarossa », l’Armée allemande a la désagréable surprise d’affronter un char d’assaut soviétique qui surclasse l’ensemble de ses matériels : le T‑34/76. Panzer et autres Panzerjägerkanonen ne peuvent que constater leur impuissance face à un blindé « révolutionnaire ». Tandis que l’industrie germanique planche sur des équipements susceptibles de rivaliser, des solutions « intérimaires » sont mises en place pour tenter de contrer cette menace. Véritable recyclage d’équipements obsolètes ou capturés, le Panzerjäger II für 7,62cm Pak 36, également désigné Marder II, est l’exemple même de la capacité de réaction de la Wehrmacht face à un problème donné.

+ AMD 178

Les tourelles de l’AMD 178 Panhard

Il arrive qu’un char ou une automitrailleuse connaisse des améliorations tant dans son profil que dans l’armement de sa tourelle. Ainsi, le Sherman, dans sa dernière version, aura des chenilles plus larges et un canon plus performant. Mais il est rare qu’une automitrailleuse voit autant de transformations au niveau de sa tourelle que l’AMD Panhard 178, qui, tout au long de la Seconde Guerre mondiale, en subira une dizaine.

+ 76,2 mm 3‑K Obr. 1931

Chronique d’une pièce germano-soviétique

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, l’Allemagne et l’Union soviétique sont deux nations qui ont été presque aussi souvent rivales que partenaires en matière d’armement. Cette situation se vérifie au lendemain de la Première Guerre mondiale, lorsque les deux pays s’engagent à concevoir, de concert, de nouveaux matériels. De cette coopération naît le 3‑К Обр. 1931, ou 3‑K Obr. 1931 pour modèle 1931, qui constitue la principale pièce antiaérienne lourde engagée par l’Armée rouge au déclenchement de l’opération « Barbarossa » de juin 1941. Capable de prendre à partie les blindés et les avions allemands, elle est le pendant russe du célèbre canon Flak de 8,8cm.

+ Eurocopter Tigre

Le fauve de l’ALAT

Au milieu des années 1970, commencent entre la France et la République fédérale d’Allemagne (RFA) des pourparlers concernant le développement commun d’un hélicoptère de combat. Outre le fait que ce type de coopération « resserre » les liens entre les deux ennemis d’hier, il permet de mutualiser les moyens techniques et financiers nécessaires à l’élaboration d’un engin sophistiqué apte à bloquer l’avance des chars soviétiques en Europe de l’Ouest. En effet, les deux armées évoluent dans le contexte de la guerre froide et souhaitent acquérir une voilure tournante répondant à la menace que représentent les 50 000 blindés du pacte de Varsovie.

+ Camouflage

Les Panzer « africains »

Lorsque le Deutsches Afrika-Korps (DAK) est formé en février 1941 afin de venir en aide à l’Armée italienne défaite en Afrique du Nord par les troupes anglaises, les Allemands n’ont quasiment aucune expérience ni matériel adapté au climat désertique. Afin de pouvoir camoufler au mieux ses engins blindés, le DAK doit tout d’abord improviser, avant que des peintures spécifiques ne soient employées.

+ Actu : Combat Reconnaissance Armoured Buggy de Panhard

Le CRAB avec tambour et trompette

En dépit d’une technologie toujours plus évoluée, avec la mise en service de satellites espions ou l’utilisation de drones, rien ne peut vraiment remplacer la reconnaissance armée, qui permet à la fois de collecter des informations, de « tâter » le terrain, voire de donner un coup d’arrêt à la progression ennemie. Fort de ce principe, la société Panhard General Défense, déjà à l’origine du Panhard GD véhicule blindé léger (VBL), renouvelle, en 2012, son offre sur un marché militaire en proie à la crise économique, en présentant le CRAB, acronyme de Combat Reconnaissance Armoured Buggy (pour buggy blindé de reconnaissance armée).