Trucks & Tanks n°34
Panzer-Division Typ 1944
La somme de toutes les expériences
Au sommaire du n°34 - Novembre/Décembre 2012
+ DOSSIER : Panzer-Division Typ 1944
La somme de toutes les expériences
+ M24 Chaffee
Le « Panther Pup »
+ Matériel allemand aux couleurs françaises
Camouflage
+ Les chars volants
Cobra, le premier « Tank Killer »
+ Les véhicules légers de la Wehrmacht
Un incroyable catalogue ! (1e partie)
+ Comparatif
SU-100 vs Jagdpanther
+ Actu : Les nouveaux tanks russes
Le char, parent pauvre de l’Armée rouge d’aujourd’hui
Au sommaire du n°34 - Novembre/Décembre 2012
+ DOSSIER : Panzer-Division Typ 1944
La somme de toutes les expériences
En 1944, la Wehrmacht mise sur ses Panzer-Divisionen pour faire échec aux offensives alliées. Pour ce faire, les formations blindées germaniques sont réorganisées selon une structure, baptisée Typ 1944, mettant en avant leurs points forts, comme le char Panther, et apportant une solution à la menace aérienne alliée. Toutefois, ce nouvel ordre de bataille n’est-il pas trop optimiste ?
+ M24 Chaffee
Le « Panther Pup »
En 1941-42, les M3A1 et M5A1 sont les principaux modèles de chars de reconnaissance alignés par l’Army. Les premiers à utiliser ces matériels au combat sont les Britanniques en 1942, dans le désert libyen, face aux unités blindées de l’Axe, où il apparaît que le canon de 37 mm est devenu obsolète. C’est ainsi, suite aux retours d’expérience des tankistes britanniques, que les autorités américaines décident de stopper la production des « Stuart » et de se mettre en quête d’un nouveau char léger, mieux armé et mieux protégé.
+ Matériel allemand aux couleurs françaises
Camouflage
La pratique consistant à récupérer du matériel adverse pour le réutiliser est commune à tous les camps. Ainsi, les Beute et autres Panzer sous l’étoile rouge sont une constante durant la Seconde Guerre mondiale. Fait moins connu, l’Armée française mais aussi les Forces françaises de l’Intérieur (FFI) vont également remettre en état des blindés allemands pour les déployer face à leurs anciens propriétaires.
+ Les chars volants
Cobra, le premier « Tank Killer »
Comme beaucoup d’engins réussis, le Cobra n’aurait jamais dû voir le jour. En tout cas pas si tôt, pas en aussi grand nombre, ni avec une telle descendance. Car les débuts du Tank Killer de l’américain Bell sont marqués du sceau de l’indécision : si le constructeur saura toujours faire les bons choix pour présenter une machine adaptée aux besoins de son époque, le Pentagone ne le prend en 1966 que comme une solution transitoire. Quarante ans plus tard, le Cobra est encore en service !
+ Les véhicules légers de la Wehrmacht
Un incroyable catalogue ! (1e partie)
La Grande Guerre a clairement démontré aux belligérants l’importance du « moteur combattant ». Bien que vaincue en 1918, et malgré les restrictions du Diktat de Versailles ainsi que celles induites par la crise de 1929, l’Allemagne va mobiliser l’ensemble de ses ingénieurs automobiles pour se doter d’une force mécanisée capable de répondre à ses besoins. Trois étapes importantes vont faire apparaître quatre types de véhicules et deux tentatives de standardisation des matériels, ceci dans le but d’uniformiser l’instruction des personnels et des mécaniciens.
+ Comparatif
SU-100 vs Jagdpanther
La Seconde Guerre mondiale a vu l’assemblage d’un grand nombre de chasseurs de chars, particulièrement au sein de l’Armée allemande. Si ces machines sont inférieures aux chars de combat, notamment à cause de l’absence de tourelle, elles sont en revanche bien moins coûteuses et généralement plus puissantes. Sans le complexe mécanisme autorisant la rotation de la tourelle, les Panzerjäger et autres Jagdpanzer sont aussi plus simples à produire. En outre, les Panzer ne peuvent pas, dans la plupart des cas, intégrer une arme de plus gros calibre, car la place est comptée et le recul plus violent n’est pas pris en compte au moment de la conception ; contrainte qui n’existe plus si le canon est directement intégré dans le vaste et résistant compartiment de combat. Mieux adapté à la défensive, ce raisonnement est appliqué au Panzer V Panther et donne naissance au Panzerjäger mit 8,8cm L/71 auf Panther, plus connu sous la désignation de Jagdpanther. Peu ou prou, l’Armée Rouge est dans le même cas de figure avec son tank moyen T 34 qui n’accepte pas de pièce d’un calibre supérieur à 85 mm. Afin de contrer les derniers fauves allemands, les Soviétiques mettent alors au point le SU 100 pourvu d’un tube de 100 mm.
+ Actu : Les nouveaux tanks russes
Le char, parent pauvre de l’Armée rouge d’aujourd’hui
En août 2008, la guerre en Géorgie l’avait parfaitement démontré, l’Armée rouge est en complète déliquescence : bureaucratie corrompue, industrie peu innovante, forces mal équipées. Aussi, en octobre 2011, le Premier ministre Vladimir Poutine annonce, à quelques mois des élections présidentielles, un programme sans précédent de modernisation de l’ensemble du secteur de la Défense russe. Les forces blindées n’y sont pas considérées comme une priorité, même si les Russes n’ont en fait jamais arrêté de travailler sur des prototypes depuis la fin de l’URSS.