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LOS! n°76
La bataille du convoi HG-76
1re défaite des U-Boote en Atlantique
A PARAITRE LE 1ER NOVEMBRE
Au sommaire du n°76 - Novembre/Décembre 2024
+ Bonnes feuilles
Les vedettes rapides de la Seconde Guerre mondiale : Union soviétique
+ La bataille du convoi HG-76
Première défaite des U-Boote en Atlantique
+ La destruction des Cornwall et Dorsetshire
Dernier succès japonais avant Midway
+ USS Laffey
Le destroyer qui ne voulait pas mourir
+ Frégates !
La classe Reformador
+ Actualités
A PARAITRE LE 1ER NOVEMBRE
Au sommaire du n°76 - Novembre/Décembre 2024
+ Bonnes feuilles
Les vedettes rapides de la Seconde Guerre mondiale : Union soviétique
Comme souvent lorsqu’ il s’agit d’examiner dans le détail les problématiques soviétiques de nature militaire, les informations disponibles sur le développement des divers types vedettes rapides, leur nombre et leurs caractéristiques techniques sont relativement rares et contradictoires. Les données qui suivent sont donc, dans un grand nombre de cas, le résultat d’évaluations plus ou moins exactes. Par exemple, on ne connait pas les appellations officielles des vedettes lance-torpilles.
+ La bataille du convoi HG-76
Première défaite des U-Boote en Atlantique
La défense du HG-76 représente un véritable tournant dans la Bataille de l’Atlantique. Après deux ans de guerre des convois, c’est en effet la première fois qu'une meute de U-Boote nombreuse et déterminée est repoussée avec de lourdes pertes, sans que le convoi subisse lui-même d’importantes destructions. En envoyant par le fond plus de submersibles qu’eux-mêmes ont coulé de navires marchands, la Royal Navy démontre que la U-Bootwaffe est, elle aussi, vulnérable au combat d’attrition engagé en mer depuis le déclenchement du conflit.
+ La destruction des Cornwall et Dorsetshire
Dernier succès japonais avant Midway
La destruction des croiseurs lourds Cornwall et Dorsetshire le 5 avril 1942 au sud-sud-ouest de Ceylan constitue une des actions les plus marquantes menées par les Kanbaku, les flottilles de bombardiers en piqué de l’aéronavale embarquée japonaise durant la Seconde Guerre mondiale. Néanmoins, si leurs équipages peuvent s’enorgueillir d’avoir coulé ces deux croiseurs en moins de vingt minutes, leur expertise ne saurait faire oublier certains cafouillages. La préparation de la mission a en effet été marquée, à bord des porte-avions japonais, par une valse-hésitation et des difficultés comparables à celles qui marqueront, un mois plus tard, le début de la bataille de Midway.
+ USS Laffey
Le destroyer qui ne voulait pas mourir
Subir les attaques successives de 22 appareils ennemis, en abattre huit tout en étant touché par six kamikazes et quatre bombes mais réussir tout de même à ne pas couler malgré la casse et les pertes, telle est le fait d’armes à la fois glorieux et tragique d’un simple destroyer américain isolé au large d’Okinawa en avril 1945.
+ Frégates !
La classe Reformador
Les premières unités polyvalentes lance-missiles font leur apparition dans les années 1950 sous la dénomination de frégates. De mieux en mieux armées et équipées, elles s’alourdissent et deviennent furtives dans les années 1990. Au début du XXIe siècle, elles constituent le fer de lance des flottes modernes. Ces grands navires de surface sont parfois baptisés « destroyers », par exemple au Royaume-Uni et aux États-Unis, et sont alors un peu plus grands et lourds bien qu’ils soient conçus pour remplir des missions similaires. À chaque numéro, cette rubrique présente une classe de frégates actuellement en service.