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LOS! n°77
Le pari du porte-avions
La forge d'une arme nouvelle
Au sommaire du n° 77 - Janvier/Février 2025
+ Le plan « Peking »
Le choix cornélien de la marine polonaise
+ Le pari du porte-avions
La forge d'une arme nouvelle
+ Trois As des U-Boote
Reinhard Hardegen : l’âme de « Paukenschlag »
Viktor Schütze : le 5e « grand As »
Fritz-Julius Lemp : l’antihéros de la U-Bootwaffe
+ Les secrets de la bataille du cap Teulada
Un contre-récit
+ Le pont blindé de la classe Illustrious
Un bilan plus que mitigé
+ Frégates !
La classe Jiangkai II (Type 054A)
+ Actualités
Au sommaire du n° 77 - Janvier/Février 2025
+ Le plan « Peking »
Le choix cornélien de la marine polonaise
À l’été 1939, au moment où la confrontation avec l’Allemagne nazie devient inévitable, l’état-major polonais fait le choix a priori surprenant de sortir une large partie de sa flotte de destroyers des eaux fermées de la Baltique, pour l’envoyer vers le Royaume-Uni. Controversée à l’époque, l’opération continue de susciter des jugements tranchés. Son 85e anniversaire, en septembre dernier, donne l’occasion d’approfondir ses motifs, son déroulement et ses conséquences.
+ Le pari du porte-avions
La forge d'une arme nouvelle
De 1919 à 1939, trois puissances navales font le pari du porte-avions. À une époque qui connaît de très nombreux progrès techniques, les marines de la Grande-Bretagne, du Japon et des États-Unis développent chacune leur branche aéronavale par étapes et selon des schémas bien différents. L'entre-deux-guerres est clairement une période d'intenses réflexions au sein des états-majors pour définir le porte-avions idéal. Il en résulte la mise au point de stratégies navales et de tactiques d'emploi spécifiques que l'on retrouvera durant la Seconde Guerre mondiale.
+ Trois As des U-Boote
Reinhard Hardegen : l’âme de « Paukenschlag »
Viktor Schütze : le 5e « grand As »
Fritz-Julius Lemp : l’antihéros de la U-Bootwaffe
+ Les secrets de la bataille du cap Teulada
Un contre-récit
Tous les récits de la bataille navale du cap Teulada (ou Cape Spartivento en anglais), reprennent in extenso ou presque la version officieuse publiée dans le London Gazette du 4 mai 1948. Il en va de même pour l’histoire officielle italienne, en l’occurrence le premier volume des Azioni navali publié par l’Ufficio Storico della Marina Militare en 1959. La nouvelle version que nous proposons ici repose sur des documents officiels, récemment exhumés, et non sur des remaniements d’après-guerre.
+ Le pont blindé de la classe Illustrious
Un bilan plus que mitigé
Remarquable, la conception de la classe Illustrious ? C’est ce que l’on entend souvent à propos de son fameux pont d’envol blindé. Cette thèse - qu’esquisse d’ailleurs l’article précédent sur le développement du porte-avions durant l’entre-deux-guerres – est battue en brèche par deux spécialistes de la guerre en Méditerranée qui présentent ici plusieurs arguments difficilement contestables.
+ Frégates !
La classe Jiangkai II (Type 054A)
Les premières unités polyvalentes lance-missiles font leur apparition dans les années 1950 sous la dénomination de frégates. De mieux en mieux armées et équipées, elles s’alourdissent et deviennent furtives dans les années 1990. Au début du XXIe siècle, elles constituent le fer de lance des flottes modernes. Ces grands navires de surface sont parfois baptisés « destroyers », par exemple au Royaume-Uni et aux États-Unis, et sont alors un peu plus grands et lourds bien qu’ils soient conçus pour remplir des missions similaires. À chaque numéro, cette rubrique présente une classe de frégates actuellement en service.