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LOS! n°50 - Trafalgar - Et Nelson vainquit Villeneuve
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LOS! n°50

Trafalgar

Et Nelson vainquit Villeneuve

Au sommaire du n°50 - Juin/Juillet 2020

+ Dossier Trafalgar
Et Nelson vainquit Villeneuve

+ Lothar von Arnauld de la Perière
Le plus grand As de tous les temps

+ Le Richelieu
Un Cuirassé à la française

+ Suborama
La Suède

+ Actualités : La rupture technologique
Comment gagner quand l’adversaire développe les mêmes armes que vous ?

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Au sommaire du n°50 - Juin/Juillet 2020

+ Dossier Trafalgar

Et Nelson vainquit Villeneuve

Célébrée chaque 21 octobre en Grande-Bretagne, Trafalgar, est probablement l’affrontement naval le plus connue de l’Histoire. Pour les Anglais, cette bataille symbolise l’esprit de résistance de leur nation. Pour les Espagnols, elle marque la décrépitude de leur puissance navale pourtant centenaire. Pour les Français enfin, et pour leur Marine en particulier, elle crée un complexe d’infériorité qui mettra presque deux siècles à se résorber. Décrire la bataille elle-même sans en expliquer le contexte stratégique n’aurait eu aucun sens et c’est pourquoi nous présentons ici un dossier complet articulé en trois parties. Dans la première, la situation géopolitique et navale de chacun des belligérants est exposée, ainsi que leurs forces et faiblesses et leurs amiraux les plus influents. Dans la deuxième, nous suivons l’escadre de Villeneuve jusqu’aux Antilles, après avoir leurré Nelson qui la bloquait jusqu’à présent à Toulon. À l’été 1805, la flotte française s’en retourne en Espagne et en France pour se renforcer, laissant à la Royal Navy le temps de se repositionner. Enfin, la dernière partie fait une description détaillée des combats de Trafalgar, en insistant sur ses aspects tactiques et sur la correction de certaines idées fausses parfois entretenues encore de nos jours.

+ Lothar von Arnauld de la Perière

Le plus grand As de tous les temps

Un prénom allemand mais un nom français. Un nombre record de victoires mais une carrière restée dans l’ombre des As de la Seconde Guerre mondiale. L’histoire de Lothar von Arnauld de la Perière n’est pas des plus simples à raconter : impossible de passer sous silence ses origines, mais impossible aussi de détailler chacune des 194 destructions de navires qu’il opéra entre 1915 et 1918 !

+ Le Richelieu

Un Cuirassé à la française

À l’apogée de leur évolution, dans les années trente et quarante surtout, les cuirassés et les grands croiseurs de bataille constituaient de formidables navires de combat. Ils étaient aussi de véritables ambassadeurs des nations – souvent colonialistes – qui étaient capables d’en posséder, et leur rôle excédait de beaucoup celui d’un « simple » bâtiment de guerre. Quiconque servit à leur bord ou les vit évoluer en a conservé un intense et profond souvenir. De même est grande l’impression laissée à celui qui s’attache à l’histoire navale du XXe siècle et visite aujourd’hui l’un de ceux qui sont parvenus jusqu’à nous. Ces grands bâtiments de ligne modernes eurent pour nom Bismarck, Yamato, Prince of Wales, Missouri, Vittorio Veneto, Hood ou encore Scharnhorst. Ils connurent des destins plus ou moins glorieux, mais tous marquèrent leur temps. Parmi ces navires proches du mythe, il en est un qui arbora avec grandeur les couleurs françaises jusqu’au début des années cinquante : le superbe Richelieu. Voici son histoire.

+ Suborama

La Suède

C’est au XIXe siècle que le royaume de Suède commence à s’intéresser au sous-marin. L’exploration subaquatique est alors très en vogue en Europe et en Amérique, et les projets de submersibles de plus en plus nombreux. Vers 1840, le ministère de la Marine fait ainsi construire une maquette d’un modèle dessiné par un armateur du nom de Claes Rudolf Carlsund, mais c’est pour s’apercevoir que le projet est en fait irréalisable en l’état. La Marine refusera d’aller plus loin et le projet est abandonné. Toutefois, l’élan est donné : en 1869, le tout premier prototype de sous-marin suédois voit le jour sous l’égide de la Marine. C’est le « canon de Sandahl », du nom de son concepteur. L’année suivante, un certain Zethelius - certainement membre de l’éminente famille Zethelius, propriétaire des principales aciéries du pays - propose et assemble un second engin. Trop peu de détails nous sont parvenus mais il serait douteux de penser que ces deux réalisations aient été couronnées de succès.

+ La rupture technologique

Comment gagner quand l’adversaire développe les mêmes armes que vous ?

En réactivant sa 2nd Fleet il y a deux ans, la Marine américaine a montré qu’elle prenait très au sérieux le réchauffement des relations diplomatiques avec la Russie et la Chine. Entre mondialisation, guerre économique et crise pétrolière, les tensions n’ont jamais été aussi élevées depuis la chute de l’URSS. Toutefois, jusqu’à présent, l’outil militaire est resté fort peu employé : ces acteurs d’une Seconde Guerre froide s’arment, et communiquent constamment sur l’augmentation de leur puissance, mais sans rechercher la confrontation directe. Outre les gigantesques défilés chinois et russes mettant en scène des matériels dont on ignore encore bien des choses, il faut prendre en compte les « fuites » savamment orchestrées d’engins ou d’armes de pointe (en particulier dans les médias russes), les polémiques sur l’avenir du porte-avions au Sénat américain, etc. On s’aperçoit alors que ces trois états communiquent, de façons certes différentes, sur des types de systèmes d’armes souvent similaires.

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