LOS! n°63
La Marine à voile
sous la révolution et le consulat
EPUISE
Au sommaire du n°63 - Septembre/Octobre 2022
+ Dossier : La Marine à voile sous la révolution et le consulat
- Grandeurs et misères des vaisseaux de 1er rang et de leurs équipages
- L’artillerie navale sous la Révolution et le Consulat
- Le combat du 13 Prairial An II
-La bataille d’Aboukir
+ Suborama
Danemark
Au sommaire du n°63 - Septembre/Octobre 2022
Dossier : La Marine à voile sous la révolution et le consulat
La marine à voile connaît son apogée technique et militaire au XVIIIe siècle. Les flottes occidentales sillonnent alors les mers et les océans pour protéger les communications avec les colonies et les comptoirs commerciaux, pour attaquer les possessions ennemies, pour défendre les ports ou, au contraire, pour empêcher l'adversaire d'en sortir.
Pour remplir ces missions, les grandes marines ont fait construire des navires de tous types : corvettes, galiotes à bombes, frégates rapides mais peu armées, etc. Mais les bâtiments les plus puissants, ceux qui font l'orgueil des amirautés tout en grevant leurs budgets, sont les vaisseaux de ligne à deux ou trois ponts : les Océan et Redoutable, les Victory et Royal Sovereign, les Santissima Trinidad et Principe de Asturias. Ils emportent une artillerie puissante (de 74 à 136 canons) que servent plusieurs centaines de marins, et parfois même plus d'un millier !
De la guerre d'indépendance américaine aux guerres napoléoniennes en passant par celles de la Révolution française, les vaisseaux de ligne sont de toutes les grandes batailles navales, dont celles de la baie de Chesapeake (1781), des Saintes (1782), du 13 prairial an II (1794), d'Aboukir (1798), et bien entendu de Trafalgar (1805).
+ Grandeurs et misères des vaisseaux de 1er rang et de leurs équipages
+ L’artillerie navale sous la Révolution et le Consulat
+ Le combat du 13 Prairial An II
+ La bataille d’Aboukir
Suborama
DANEMARK
En pleine Première Guerre mondiale, le Danemark, neutre, décide de renforcer sa composante sous-marine en concevant trois exemplaires d’une nouvelle classe (classe C). Jusqu’à présent, le pays s’était contenté de construire des unités dont les plans avaient été conçus par des bureaux d’études étrangers. Maintenant, l’ami rauté cherche à gagner en compétence en développant elle-même un modèle spécifique à simple coque. Elle ne part cependant pas de rien puisqu’elle décide de dessiner une version locale et modifiée du sous-ma rin américain de la classe Holland (classe H ou type Holland 602). Les différences entre les deux semblent notables, le submersible danois étant apparemment plus long mais moins large et moins lourd...