LOS! revient sur l’affrontement entre torpilleurs, destroyers, croiseurs et cuirassés le plus impressionnant de la Première Guerre mondiale : la bataille du Jutland. Ce combat opposa les flottes britannique et allemande du 31 mai au 1er juin 1916 dans une série d’engagements titanesques qui virent, au nal, le retrait des forces allemandes, avec de lourdes pertes de part et d’autre.
Votre magazine élargit sa ligne éditoriale pour faire la part belle à d’autres matériels que terrestre. Des incursions dans d’autres domaines avaient déjà été réalisées voilà quelques années avec les hélicoptères de combat ou encore les avions d’attaque au sol, mais, désormais, les articles traiteront de manière plus régu- lière et approfondie de sujets terre-air-mer comme le dossier de ce numéro 91 consacré au porte-avions Nimitz et aux bombardiers, sous-marins et autres croiseurs développés par les Soviétiques durant la Guerre Froide pour contrer cette menace. Et ce dossier frappe fort avec un déroulé uchronique décrivant comment Moscou aurait organisé, et dans quel cadre « historique », une attaque de grande envergure contre un des plus puissants groupes aéronavals américains. Et ce dossier exceptionnel est illustré par de très nombreuses vues 3D présentant les principaux protagonistes de ce scénario de l’apocalypse ! Nous espérons que cet exer- cice de style vous séduira par son approche novatrice. N’hésitez pas nous faire part de vos retours, voire de sujets que vous souhaiteriez être abordés de la même manière ! Les « fans » de matériels terrestres ne sont pas oubliés avec des articles très originaux sur des engins très peu connus du grand public comme le char A33 Excelsior, Tank, Heavy Assault dont les Anglais ne sauront pas quoi faire (!), mais aussi un retour « aux sources » avec l’une des premières auto- mitrailleuses mises en service : la Minerva belge. Et évidemment, nous consacrons de nouveau de nombreuses pages à la guerre en Ukraine avec un focus sur les matériels « lourds », du côté russe, mais aussi ukrainien, qui prennent une place de plus en plus importante dans les combats menés dans le Donbass. Nous vous souhaitons une bonne lecture !
Lancée dans la nuit du 23 au 24 février 2022, « l’opération militaire spéciale », selon les dires du président Vladimir Poutine, voit les Vooroujionnye sily Rossiïskoï Federatsii (forces armées de la Fédération de Russie) attaquer les Zbroyni Syly Ukrayiny (ZSU, forces armées de l’Ukraine) fidèles au président ukrainien Volodymyr Zelensky. Ainsi, aux colonnes de T-72B3 russes appuyées par des lance-roquettes multiples (comme des BM-21 Grad ou des TOS-1 Buratino), les Ukrainiens répliquent par une techno-guérilla basée sur un usage massif de missiles antichars.
La plupart des grandes opérations de la Seconde Guerre mondiale ont été traitées en long, en large et en travers dans de nombreuses publications depuis la fin de ce conflit. Aux cartes générales ont succédé des analyses stratégiques, avec les mêmes questions, les mêmes sujets-phares. Mais ces articles et autres livres en tous genres, en se concentrant sur une vision globale (par corps d’armée, par divisions…), passent à côté de l’essence même du conflit : cette guerre a été menée par des hommes de tous les horizons, extirpés de leur quotidien pour être jetés dans la fournaise.
On ne présente plus le North American P-51 Mustang, véritable légende du second conflit mondial, merveille de la chasse américaine qui a changé le visage de le guerre aérienne en Europe au sein de la 8thAir Force...
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Depuis plus de 80 ans une querelle s’est installée dans le champ historique de la Seconde Guerre mondiale pour déterminer qui a vaincu Hitler : sont-ce les Alliés qui, grâce à leur formidable potentiel matériel et à leur victoire dans la bataille de l’Atlantique, ont réussi à débarquer en France en 1944 ? Ou est-ce l’Armée Rouge qui, par le sacrifice de millions de soldats, a fixé la majeure partie de la Wehrmacht sur le front de l’Est, usant jusqu’à la corde les troupes du Führer ?
En 1939, la défense contre les chars est la mission d’une branche de la Heer bien spécifique, la Panzerabwehr (défense antichar). Celle-ci tire ses origines de la Première Guerre mondiale, lorsque les armées du Kaiser sont pour la première fois confrontées aux Tank britanniques. Connaissant un développement technique lent durant l’entre-deux-guerres, mais fécond sur le plan théorique, la Panzerabwehr va rapidement évoluer au cours du Second Conflit mondial. Cependant, confrontée à des armées de plus en plus mécanisées, la Wehrmacht va devoir s’adapter rapidement et trouver des solutions à une problématique récurrente : la lutte antichar sur tous les fronts.
Dans cette analyse passionnante, Simon Le Bouché revient sur la première année de guerre de l’empire du Soleil Levant en Asie-Pacifique, pour en décrypter la mécanique guerrière et les stratégies. Tous les fronts, tous les théâtres d’opérations des trois armes (terre, air, mer) sont présentés et expliqués, ainsi que les qualités et défauts des forces japonaises mais aussi des unités britanniques, néerlandaises, siamoises, australiennes, américaines, chinoises et philippines.
Entre 1939 et 1945, quelque 2 500 submersibles ont patrouillé dans toutes les mers du globe. Erminio Bagnasco, éminent spécialiste italien de l’arme sous-marine, a recensé et détaillé toutes les classes de submersibles engagés au combat par les huit grandes puissances navales de l’époque...
Géniteur d’une famille de blindés de légende, le Panzer VI Tiger est associé à toutes les campagnes militaires de la Wehrmacht durant la seconde moitié de la guerre. Pas moins de dix Abteilungen de la Heer et trois de la Waffen-SS en seront équipées, que ce soit dans la version Tiger I ou Tiger II. Il faut ajouter à cela les trois bataillons de chasseurs de chars lourds dotés de Jagdpanzer Elefant et Jagdtiger, engins découlant respectivement du concurrent malheureux du Tiger I pour le premier et du Tiger II pour le second...
Après un premier volume consacré au Typ VII, les éditions Caraktère consacre le deuxième opus de cette collection aux U-Boote de la dernière chance !...
Le Landser de 1939 est l’héritier direct de celui de 1918 et la Heer (armée de terre) plonge ses racines, ses traditions et ses spécificités uniformologiques dans celles des armées impériales des siècles passées : les Gebirgsjäger sont les descendants des troupes de montagnes autrichiennes, les tankistes ceux des hussards prussiens ; on retrouve les Litzen des troupes de Frédéric II sur les pattes de cols des soldats de la Heer, etc...
Ayant lancé des recherches sur d'innombrables « armes miracles », aussi visionnaires pour certaines d'entre elles que fantaisistes pour d'autres, la Wehrmacht de la fin de la guerre a fait l'objet de bien des fantasmes, pour ne pas parler de délires !
Quel aurait pu être le véritable visage des forces armées allemandes si la guerre s'était prolongée d'une ou plusieurs années en Europe ?
Le 1er janvier 1921, pour se conformer aux clauses du traité de Versailles, la Reichswehr ne dispose plus que de 204 pièces de 7,7 cm et 84 obusiers de 10,5 cm.À l’exception de cette maigre dotation, tout le parc d’artillerie de la Deutsche Armee existant au 11 novembre 1918 est saisi ou ferraillé. De surcroît, tout développement de nouveaux matériels est proscrit, et pour lui éviter toute tentation, son parc de machines-outils spécialisées est réduit à la portion congrue et mis sous la surveillance de commissions d’inspection particulièrement pointilleuses.À cette date, l’Allemagne n’existe plus en tant que puissance militaire...
Quelque peu éclipsés par leurs homologues britanniques entrés dans la légende durant la Seconde Guerre mondiale, les commandos allemands de l’Abwehr ont pourtant écrit une épopée tout aussi mémorable. Les fameux « Brandebourgeois », choisis pour leur pratique parfaite des langues étrangères et surentraînés pour s’infiltrer dans les lignes de l’ennemi vêtus de son uniforme et s’en débarrasser au moment de passer à l’action, ont indéniablement contribué au succès des offensives du Blitzkrieg de 1939 à 1942.
Le submersible d’attaque Typ VII est certainement le sous-marin le plus célèbre du second conflit mondial. Construit à des centaines d’exemplaires, commandé par des As aux succès retentissants, le Typ VII a bien gagné son surnom de « cheval de bataille de la U-Bootwaffe » en Atlantique...
De 1939 à 1941, l’arme sous-marine allemande s’impose comme l’une des menaces les plus dangereuses pour les Alliés, leur effort de guerre et leur trafic maritime. Constituée de submersibles modernes et bien conçus, aux équipages surentraînés et motivés, la U-Bootwaffe va mener une guerre au tonnage sans merci en Atlantique.
Cette encyclopédie consacrée aux avions de chasse français de la période 1939‑42 brosse un vaste panorama de l’état de santé de notre industrie aéronautique à la veille d’un cataclysme sans précédent dans l’histoire de notre pays.
Ayant lancé des recherches sur d'innombrables « armes miracles », aussi visionnaires pour certaines d'entre elles que fantaisistes pour d'autres, la Wehrmacht de la fin de la guerre a fait l'objet de bien des fantasmes, pour ne pas parler de délires !
Quel aurait pu être le véritable visage des forces armées allemandes si la guerre s'était prolongée d'une ou plusieurs années en Europe ?
Le submersible d’attaque Typ VII est certainement le sous-marin le plus célèbre du second conflit mondial. Construit à des centaines d’exemplaires, commandé par des As aux succès retentissants, le Typ VII a bien gagné son surnom de « cheval de bataille de la U-Bootwaffe » en Atlantique...
Dans la droite ligne des deux ouvrages de référence que sont « l’Encyclopédie des avions de chasse français » et « Camouflages et marques de l'Aviation Française », les éditions Caraktère ont le plaisir de vous annoncer la sortie d’un troisième tome consacré aux appareils tricolores de bombardement et de reconnaissance. Un ouvrage luxueux, fruit d’un travail minutieux, illustré de nombreuses photographies inédites qui vous permettra d’être incollable dans un domaine méconnu.
Construit à près de 33.675 exemplaires, le Messerschmitt Bf 109 demeure encore aujourd'hui source de fascination, tant pour les passionnés d'aviation que les férus d'histoire militaire contemporaine. Cet appareil symbolise autant la puissance et la supériorité de la Luftwaffe durant les premières années de guerre, que la férocité des combats aériens durant la Bataille d'Angleterre.
La division Ariete est sans conteste l’unité la plus connue de l’Armée royale italienne, le Regio Esercito, ayant combattu durant la Seconde Guerre mondiale. Fer de lance des forces italiennes en Afrique du Nord, son nom demeure associé aux victoires de l’Afrika-Korps et aux batailles qui ont rythmé les opérations en Libye ou en Égypte, de 1941 à 1942.
Au sommaire :
+ Arracourt, 1944
Déluge de feu à Réchicourt
+ Les chars russes en Ukraine
Une diversité de matériels
+ Moguilev-Pdolski
Un pont trop loin pour les Brandebourgeois
+ Les chars du corps des Marines au Vietnam
Shock, mobility, firepower
+ Rommel au bord du gouffre
La bataile d'Arras, 1940
+ Actus
Le combat urbain d’hier à demain
Au sommaire :
+ Dossier : L’UKRAINE DANS LA SECONDE GUERRE MONDIALE
Terre martyrisée et convoitée
+ LA BATAILLE D’ORTONA
CLÉ DE LA GUERRE EN LIBYE ?
+ DE LA FLAK À LA PAK
LES CANONS ANTIAÉRIENS LOURDS EN EMPLOI ANTICHAR
+ L’ART DU CAMOUFLAGE
TROMPER, LEURRER ET DISSIMULER
+ UNIFORMES DES GRENADIERE ET PANZERGRENADIERE
SUR LE WESTFRONT ET L’OSTFRONT
+ Actualité
LA BATAILLE DE MARIOUPOL
Au sommaire :
+ Coulez le Nimitz
Et si la troisième Guerre mondiale avait eu lieu ?
+A33 EXCELSIOR, TANK, HEAVY ASSAULT
Le remplaçant mort-né du Churchill
+ LES AUTOMITRAILLEUSES MINERVA
Innovations à la sauce belge
+ LE CANON DE 76,2 MM F-22 Obr. 1936
Tout sauf Universel
Au sommaire :
+ LA « RICHTHOFEN » À DIEPPE
La JG 2 le 19 août 1942
+SCHUMACHER & GRABMANN
Les « papys » de la Luftwaffe
+ UN SCANDALE EN BOHÊME
La bataille aérienne de Merklín
+ L'AXE EN EXTRÊME-ORIENT
Les forces aériennes alliées du Japon (Partie 2)
+ UNE JOURNÉE EN ENFER
Témoignages d’équipages
de Dornier Do 17
Au sommaire :
+ Actualité
LA PERTE DU MOSKVA
+ TAIHO
LE PHÉNIX DE LA MARINE IMPÉRIALE
+ ATTRAPE-MOI SI TU PEUX !
LE RAID SUR SCARBOROUGH, HARTLEPOOL ET WHITBY
+ KIOSQUES & MASSIFS
ÉVOLUTION DES SUPERSTRUCTURES DES SOUS-MARINS
+ VICHYSTES CONTRE ROYAL NAVY
LES COMBATS OUBLIÉS DE LA CAMPAGNE DE SYRIE
+ LES CANOTS EXPLOSIFS DES K-VERBÄNDE
+ Suborama
DANEMARK