Lorsque les Panzer-Divisionen déferlent sur la France le 10 mai 1940, elles affrontent pléthore de blindés dont certains sont plus puissants que leurs propres matériels à l’instar du char d’infanterie B1bis de 31,5 tonnes. À l’orée de la Seconde Guerre mondiale, l’Armée française dispose en effet d’engins perfectionnés et souvent à la pointe de la technologie. Un développement qu’elle a débuté dans les années 1920, mais qui est pourtant freiné financièrement parlant par les énormes stocks de matériels hérités de la Première Guerre mondiale comme les chars de rupture FCM 2C et surtout les centaines de légers FT...
Après la découverte de la fission nucléaire par l’Allemand Otto Hahn en 1938, découverte qui ouvre la voie à des applications militaires, la Seconde Guerre mondiale est, dès son déclenchement, une guerre pour la bombe atomique. Les belligérants engagent une course contre la montre pour l’acquisition de cette arme absolue, susceptible, par l’immense pouvoir de destruction qu’elle laisse présager, de pousser l’ennemi à la capitulation...
Après plusieurs hors-séries consacrés à l’US Navy, la Marine impériale japonaise et la Kriegsmarine, LOS! s’attaque à la combattive flotte britannique ! Ce numéro vise à en décrire les fondements doctrinaux ainsi que sa stratégie et ses matériels, de l’entre-deux-guerres au retour victorieux à la paix en 1945....
Plus que nul autre, le Boeing B-52 Stratofortress symbolise la toute puissance des États-Unis depuis sa mise en service en 1955. Capable d’emporter une charge offensive de plus de 22 tonnes, de délivrer le feu nucléaire, le bombardier stratégique phare de l’US Air Force est l’outil essentiel des opérations extérieures et de la dissuasion de l’« Oncle Sam » depuis soixante-cinq ans...
Le 6 juin 1944, alors que les premiers GIs foulent les plages normandes, précédés par les parachutistes plus tôt dans la nuit, les deux camps se trouvent face à une des opérations les plus ambitieuses du second conflit mondial. Personne n’a jamais fait débarquer autant d’hommes sur un territoire aussi étiré, et la question du soutien (aérien et naval) est au centre des préoccupations… à juste titre. Il est le seul paramètre capable d’orienter l’opération vers le succès ou l’échec.
Dans la droite ligne des deux ouvrages de référence que sont « l’Encyclopédie des avions de chasse français » et « Camouflages et marques de l'Aviation Française », les éditions Caraktère ont le plaisir de vous annoncer la sortie d’un troisième tome consacré aux appareils tricolores de bombardement et de reconnaissance. Un ouvrage luxueux, fruit d’un travail minutieux, illustré de nombreuses photographies inédites qui vous permettra d’être incollable dans un domaine méconnu.
Entre 1939 et 1945, quelque 2 500 submersibles ont patrouillé dans toutes les mers du globe. Erminio Bagnasco, éminent spécialiste italien de l’arme sous-marine, a recensé et détaillé toutes les classes de submersibles engagés au combat par les huit grandes puissances navales de l’époque...
Géniteur d’une famille de blindés de légende, le Panzer VI Tiger est associé à toutes les campagnes militaires de la Wehrmacht durant la seconde moitié de la guerre. Pas moins de dix Abteilungen de la Heer et trois de la Waffen-SS en seront équipées, que ce soit dans la version Tiger I ou Tiger II. Il faut ajouter à cela les trois bataillons de chasseurs de chars lourds dotés de Jagdpanzer Elefant et Jagdtiger, engins découlant respectivement du concurrent malheureux du Tiger I pour le premier et du Tiger II pour le second...
Après un premier volume consacré au Typ VII, les éditions Caraktère consacre le deuxième opus de cette collection aux U-Boote de la dernière chance !...
Le Landser de 1939 est l’héritier direct de celui de 1918 et la Heer (armée de terre) plonge ses racines, ses traditions et ses spécificités uniformologiques dans celles des armées impériales des siècles passées : les Gebirgsjäger sont les descendants des troupes de montagnes autrichiennes, les tankistes ceux des hussards prussiens ; on retrouve les Litzen des troupes de Frédéric II sur les pattes de cols des soldats de la Heer, etc...
Ayant lancé des recherches sur d'innombrables « armes miracles », aussi visionnaires pour certaines d'entre elles que fantaisistes pour d'autres, la Wehrmacht de la fin de la guerre a fait l'objet de bien des fantasmes, pour ne pas parler de délires !
Quel aurait pu être le véritable visage des forces armées allemandes si la guerre s'était prolongée d'une ou plusieurs années en Europe ?
Le 1er janvier 1921, pour se conformer aux clauses du traité de Versailles, la Reichswehr ne dispose plus que de 204 pièces de 7,7 cm et 84 obusiers de 10,5 cm.À l’exception de cette maigre dotation, tout le parc d’artillerie de la Deutsche Armee existant au 11 novembre 1918 est saisi ou ferraillé. De surcroît, tout développement de nouveaux matériels est proscrit, et pour lui éviter toute tentation, son parc de machines-outils spécialisées est réduit à la portion congrue et mis sous la surveillance de commissions d’inspection particulièrement pointilleuses.À cette date, l’Allemagne n’existe plus en tant que puissance militaire...
Quelque peu éclipsés par leurs homologues britanniques entrés dans la légende durant la Seconde Guerre mondiale, les commandos allemands de l’Abwehr ont pourtant écrit une épopée tout aussi mémorable. Les fameux « Brandebourgeois », choisis pour leur pratique parfaite des langues étrangères et surentraînés pour s’infiltrer dans les lignes de l’ennemi vêtus de son uniforme et s’en débarrasser au moment de passer à l’action, ont indéniablement contribué au succès des offensives du Blitzkrieg de 1939 à 1942.
Le submersible d’attaque Typ VII est certainement le sous-marin le plus célèbre du second conflit mondial. Construit à des centaines d’exemplaires, commandé par des As aux succès retentissants, le Typ VII a bien gagné son surnom de « cheval de bataille de la U-Bootwaffe » en Atlantique...
De 1939 à 1941, l’arme sous-marine allemande s’impose comme l’une des menaces les plus dangereuses pour les Alliés, leur effort de guerre et leur trafic maritime. Constituée de submersibles modernes et bien conçus, aux équipages surentraînés et motivés, la U-Bootwaffe va mener une guerre au tonnage sans merci en Atlantique.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les camouflages et marques français sans avoir osé le demander, le grand spécialiste de la question, Christian-Jacques Ehrengardt, vous le détaille en 216 pages.
Cette encyclopédie consacrée aux avions de chasse français de la période 1939‑42 brosse un vaste panorama de l’état de santé de notre industrie aéronautique à la veille d’un cataclysme sans précédent dans l’histoire de notre pays.
Ayant lancé des recherches sur d'innombrables « armes miracles », aussi visionnaires pour certaines d'entre elles que fantaisistes pour d'autres, la Wehrmacht de la fin de la guerre a fait l'objet de bien des fantasmes, pour ne pas parler de délires !
Quel aurait pu être le véritable visage des forces armées allemandes si la guerre s'était prolongée d'une ou plusieurs années en Europe ?
Des combats de rencontre dans le Slot aux grands engagements transhorizon entre porte-avions, de l’attaque de l’aéronavale japonaise sur Hawaii le 7 décembre 1941 à la destruction du croiseur lourd Haguro par la 26th Destroyer Flotilla britannique dans le détroit de Malacca le 16 mai 1945, la guerre du Pacifique est un enchaînement complexe de batailles plus ou moins connues qui rythment un conflit de 44 mois...
Dans un luxueux livre (plus de 200 pages !) à la couverture cartonnée, les Éditions Caraktère vous proposent un guide des chars de combat développés par l’Armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale.
Grâce à cet ouvrage exhaustif, ces blindés qui ont marqué de leurs chenilles tous les champs de bataille de 1939 à 1945 n’auront plus de secrets pour vous.
Au sommaire :
+ DOSSIER SPÉCIAL :
100 ANS DE BATAILLES DE CHARS
- Villers-Bretonneux
et Niergnies-Séranvillers, 1918
Surprise et improvisation
- Hannut, 1940
La première déconvenue allemande
- Arracourt, 1944
Le sursaut allemand
- Le plateau du Golan, 1973
La « Vallée des Larmes »
+ Heavy Tank T26E3 versus Panzer VI Ausf. E Tiger I
Quand le vainqueur perd !
+ Achtung Panzer !
Les enseignements de Heinz Guderian
+ Le 11th Armored Cavalry Regiment au Vietnam
L’innovation américaine
+ Actus
Au sommaire :
+ DOSSIER : Panzergrenadier
Un fantassin de choc !
-Ni homme, ni bête, mais… Panzergrenadier !
Qui est le grenadier motorisé allemand ?
- La famille des Sd.Kfz. 251
L’atout majeur des Panzergrenadiere
+ 1. Skijäger-Division
Division d’élite et d’exception ! (2e partie)
+ Za Rodinou !
Un officier du NKVD dans la tourmente (octobre 1941)
+ Les Arditi Distruttori Regia Aeronautica
Une histoire des parachutistes italiens, 1942-1945
Au sommaire :
+ États-Unis versus Chine
Le piège de Thucydide
+ Rolls-Royce Armoured Car
De la Grande guerre aux sables du désert
+ Les chars allemands dans l’Armée italienne
Chronique d'un échec annoncé
+ Toyota Land Cruiser
Un classique parmi les classiques
+ Tempo-Vidal Geländewagen 1200
Un 4x4 avec deux moteurs
+ Les Bystrokhodny Tank
Rapides comme l'éclair
+ L’AMX 13/SS 11
Un précurseur qui s'ignore
+ Les projets de canons automoteurs sur châssis de Panzer IV
Inutile complexité
+ M3A3 (7,5cm Pak 40)& M3A3 (2cm Flak 38 Flakvierling)
Les bricolages de Tito
Au sommaire :
+ Opération Donnerkeil
Le coup de maître de la Luftwaffe
+ Chasse interdite !
Le Tenente di Vascello Renato Arco, « as clandestin » de la Regia Marina
+ « Diable Rouge »
George Stamets, pilote d’Avenger de la VMTB-232 dans les îles Salomon
+ P comme Panzerjäger
Le Junkers Ju 88 P : version antichar de la bête de somme de la Luftwaffe
+ La Lettonie
Un petit pays « aéronautiquement » prolifique !
Au sommaire :
+ La flotille Monsun
Les U-boote du bout du monde
+ LST
Landing Ship Tank ou Long Slow Target ?
+ Plan Z
Le Schlachtschiff H-39
+ De l'acier sous la glace
Les sous-marins à la conquête de l'Arctique
+ Le barrage du canal d’Otrante
Un limes sur la mer
+ Suborama
Lettonie